← Retour à l'accueil

https://apption.co/app_posts/wju750

Comment distinguer les numériques qui nous fragilisent, et ceux qui facilitent notre appréhension d'un monde incertain ? De quel numérique parle-t-on quand on veut faire face aux crises ? Comment exploiter au mieux les potentialités des outils sans se rendre trop vulnérable ?

Penser les outils et les usages : pour qui et pour quoi ?

Parfois l'outil est fait pour mettre l'usager en capacité, et parfois il est fait pour calculer à la place de l'usager. Dans ce deuxième cas l'objectif n'est pas de faire monter en compétence les usagers, mais plutôt d'optimiser leur tâche grâce à l'aide d'un outil performant et autonome. Voir le jeu de Jacques-François Marchandise et Renaud Francou. Il est donc indispensable de savoir pour quoi un outil est fait, à quoi il sert, et à qui il sert.

Il faut investir dans des systèmes d’information robustes, conviviaux, qui sont centrés sur les usagers, et pensés avec le terrain. Benoît Thieulin, Débat Acteurs publics, « Le bond numérique effectué dans les administrations publiques survivra-t-il à la crise covid ? »

Nouvelles définitions de l'espace et du temps

Sobriété numérique et frugalité

Maxime Efoui-Heiss

« L'enjeu est ainsi de passer de l'expérience de la sobriété "contrainte et forcée", imposée par la pandémie, à une sobriété "choisie et heureuse", contribuant à la décrue des émissions de gaz à effet de serre. » Tribune de Patrice Geoffron (économiste) et Benoît Thirion (consultant)

Low-tech, proximité et réseaux

Le rôle de facilitation des acteurs publics.